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Histoire du revenu de
base |
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Utopies aux 16. - et 17.
Siècle
Thomas More dépeint dans «Utopia » (1517), une société dans lequel tous travaillent, y compris les féodaux seigneurs et dames
, et
où n'est fabriqué aucun luxe
superflu, seulement le nécessaire. De cette manière personne ne doit
travailler beaucoup, chacun peut-être 6 heures par
jour, et les besoins de tous sont couverts.
Jüan Luis
Vives (1526) se prononce en faveur d'une couverture de base en faveur de tous, pas
seulement pour les pauvres.
Tommaso
Campanella « L'État soleil » (1623) et Francis Bacon dans
« La Nouvelle Atlantide » (1638) aboutissent dans leurs utopies d'une autre société à
des choses semblables. A chacun et chacune - parce qu'ils sont
membre de la société - est donnés la satisfaction
des besoins de vie propres. Cela rend possible
une exigence de consommation raisonnablement
modérée et la participation joyeuse de tous a un travail
alors sensé. |
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Les droits de
l'homme 18. Siècle |
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Droit au lieu
de faveur.
L'Anglais Thomas Paine a publié en 1791 « Right of Man » (droits de l'homme). En
Amérique il se prononce pour la déclaration d'indépendance, dans
le préambule de laquelle il est dit alors :
Parmi les droits inaliénables de chaque homme
compte le droit à la vie, à la liberté et à
l'aspiration au bonheur. Dans la France
de "
Liberté, Fraternité; Egalité", il participe à la mise sur pied d'une constitution démocratique. Une des choses qu'il beaucoup critiqué, était la
propriété foncière. Car cela contribue à
l'appauvrissement. Cela fermait l'accès de la plupart des hommes a leur
hérititage naturel et de la possibilité
de survivre indépendant. En
Angleterre, il s'engageat pour un doublement de l'argent des pauvres sur l'argent fédéral, afin que ceux ci ne soient pas poussés de part et d'autre entre les
municipalités comme
jusqu'alors. Il a considéré la royautée comme obsolète
et voulait de préférence instaurer les droits fondamentaux.
Le droit à la vie n'était pas seulement cité par Paine comme cela. Il signifiait une
protection de base sociale et
matérielle. |
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Productivité et
prospérité du 19. dans le 20.
siècle |
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Pour Paul
Lafargue, un beau-fils de Karl Marx,
l'exigence du droit à un
travail n'est qu'une expression de la bêtise du
prolétariat et de sa manie irrationnelle de travail
. Il devrait saluer la
rationalisation et s'approprier la richesse ainsi
produite, au lieu de mendier au capital un travail
aux plus mauvaises conditions. Plus de
trois heures de travail par jour ne devraient pas
être. « Si le travail était quelque chose de
beau et réjouissant, les riches ne l'auraient pas laissé
aux pauvres. » En 1883 est paru son
livre « Le droit à la
paresse ».
Josef Popper-Lynkeus promeut en 1887 dans « Le
droit de vivre et le devoir de mourir » un revenu de
base garanti. En 1912, il écrit un autre livre.
Une « Armée alimentaire » doit
créer pour tous sans exception le necessaire à la vie y compris
l'hygiène et des soins médicaux - en nature, pas sous forme d'argent. Ce qui en sort est
luxe et est laissé à
l'économie monétaire libre.
Theodor Hertzka demande en 1890 dans son écrit « Pays libre - une image sociale
future » : « Pourquoi ne devenons pas plus riche en proportion de nos
capacités croissantes à produire des richesses
? » Parce que les règles sociales en vigueur
empêchent la demande de croitre avec la productivité. Ainsi fut sa propre
réponse.
Otto von
Bismarck a tendu vers l'idée d'une assistance des citoyens par l'état, il a alors toutefois
décidé un système de sécurité sociale
avec pour principe la prestation équivalente.
La prestation équivalente signifie : Seul a droit aux prestations sociales
celui qui a fourni un long travail ou est prêt à cela à
tout moment.
Rudolf Steiner écrit en 1906 dans un essai
« Science spirituelle et questions sociale » :
« Il ne sert à rien de voir que les circonstances
mettent l'homme dans des situations
défavorables, dans lesquelles il tombe dans la déchéance: on doit
apprendre à connaître les forces par les quelles
des conditions favorables sont crée. (...) Les lois du
bien-être humain sont en effet aussi sûrement
insérés dans les fondements de l'âme humaine, comme y est une fois un egale un . (...) Le bien-être d’une communauté d’êtres humains travaillant ensemble
sera d’autant plus grand que l’individu prétendra moins au produit de
son propre travail pour lui-même ; c’est-à-dire au plus il transférera le
produit de son travail aux autres et au plus ses propres besoins serontsatisfaits, non par son propre travail, mais par le travail des autres.
(...) De cela il ressort que travailler pour ses prochains et
obtenir un certain revenu sont deux choses tout à fait séparées l'une
de l'autre. »
À l'instar
des idéaux de la révolution française, « liberté, égalité, fraternité », Steiner développe le « trimembrement de la société », selon laquelle les trois secteurs principaux
qui constituent une société : vie de l'esprit,
vie juridique et vie économique se fécondent mutuellement préservés par leurs idéaux et règles
propres respectives. Il différencie en outre trois types d'argent
et leur fonction dans les trois secteurs de la société :
Argent d'achat, argent d'emprunt, argent
de don. À partir de 1918, « la triarticulation » agite beaucoup d'esprits dans le
secteur germanophone et
est confrontée à une brève transposition politique en pays de Bade. |
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© by Administration du leg Rudolf
Steiner , Dornach 2006 |
En 1918 l'anarchiste Peter
Kropotkin énonce la solution: „Le
droit à la prospérité est la révolution sociale,
le droit à un travail est au mieux un bagne industriel. »
Juliet Rhys-Williams,
économiste en Angleterre, apporte en 1942 « New
Social Contract, social dividend tax » le
cas des dettes et de la pauvreté dans la
conscience, la dégradante justifiation
d'une nécessité et la pratique du retard des prestation d'aide,
le désavantage des femmes et des monoparentaux.
Elle crée l'approche d'un impôt de revenu négatif
pour un revenu de base garanti.
En
1962, Milton Friedman reprend
l'approche de l'impôt sur le revenu négatif et conduit des expériences de modélisation et à une
sérieuse discussion politique aux USA. Un montant
de base doit être fixé qui suffit à la vie. Celui qui
gagne moins, obtient la différence par
impôt sur le revenu négatif payé ainsi par l'État. Celui qui
gagne beaucoup, paye pour cela plus d'impôt sur le revenu.
Robert
Theobald publie en 1966 « The
Guaranteed Income ». Erich Fromm en écrit :
"Le revenu garanti ne ferait pas seulement une réalité de la formule
'liberté', mais confirmerait aussi un principe
enraciné profondément dans la tradition religieuse
et humaniste de l'ouest : l'homme sous toutes
les circonstances a le droit de vivre. Ce droit à la vie, l'alimentation et logement,
soins médicaux, formation, etc.
est un droit constiutif de
l'homme qui ne peut être limité en aucun cas, par la
question de savoir si la personne en question est 'utile' à la société."
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Valeur des
hommes au 21. siècle |
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Des chômeurs et des
Jobber (ndt: personnes disposant d'un "job"-travail) se rencontrent en 1982 au 1er congrès fédéral des
chômeurs à Francfort-sur-le-Main et exigent « un argent d'existence », 1500 DM,
- pour
tous - au lieu d'un travail pour
tous.
« L'étape de l'État social
est atteinte, si l'exigence de sécurité
sociale n'est plus de nature purement assujettie ,
mais représente en quelque sorte « un droit
civique ». Johannes
Berger.
L'année suivante, plus précisément en décembre 2003 à Frankfurt/M le groupe
« Liberté au lieu du plein emploi » se fait connaitre du public
par une action d'affichage.
http://www.freiheitstattvollbeschaeftigung.de/
en 1984, est fondé en Grande Bretagne le "Basic Income
Research Group", depuis 1992 « Citizen's Income Study Centre » http://www.citizensincome.org/
Egalement en 1984 démare un
mouvement issus de scientifiques de l'université catholique de Louvain en Belgique qui conduit à la fondation du parti
« Vivant » dont la principale
revendication est un revenu de base
inconditionnel, http://www.vivant.org/, et en 1986 à la fondation du " Basic Income European Network (Réseau européen pour le revenu de base) " avec le
siège à Genève, depuis 2004 « Basic Income Earth Network (Réseau mondial pour le revenu de base) ».http://www.etes.ucl.ac.be/BIEN/Index.html
En collaboration avec lequel se fait depuis 2005 l'action « liberté - égalité - revenu de base »,http://www.grundeinkommen.ch/
En 2002 se fonde à
Vienne le «Netzwerk Grundeinkommen und sozialer Zusammenhalt (Réseau revenu de base et cohésion sociale) » .http://www.grundeinkommen.at/
En 2004 le réseau revenu de base allemand
est fondé à Berlin.
http://www.netzwerk-grundeinkommen.de/
Quatre critères du
revenu de base sont fixés :
- Il assure
l'existence
- Il est un droit individuel
- Pas d'examen de
nécessité
- Pas
de contrainte au travail
La même
année les archives "revenu de base" sont mises en ligne :
http://www.archiv-grundeinkommen.de/
L'été2005, l' entrepreneur Götz Werner
se mêle au débat: „Je dois dire
vraiment que je ne peux lentement plus entendre ce
commérage sur la création de nouveaux emplois.
Pourquoi cela est-il si peu contredit
? L'économie n'a pas pour tâche de créer des postes
de travail.
Au contraire !
La tâche de l'économie
est de libérer les hommes du travail . »
Werner parle en faveur d'un
revenu de base inconditionnel de hauteur correcte
et un financement par la taxe sur la valeur ajoutée. Tous les
impôts seraient rassemblés dans celui sur la consommation. Des
économies élevées sur une administration
improductive, la suppression des prestations sociales existant précédemment et des prix nets fortement à la baisse
rendent un revenu de base finançable avec des
prix finaux constants. De par la
position sociale de Götz Werneret et sa logique d'entreprise
l'idée du revenu de base retient une grande
attention dans les médias. Il construit sur les hommes, sur des vie autodéterminées, des actions motivées, l'entreprise de son propre être, et brocarde une compréhension attardée des relations sociales
effectives.http://www.unternimm-die-zukunft.de/ |
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D'autres
informations sur l'histoire du revenu de base, différentes théories,
modèles, utopies et définitions |
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…
sont présentés:
- dans un aspect vaste et
d'une vue personnelle :
Prof.
Dr Georg Vobruba, Sociopolitologe à l'institut
pour la sociologie de l'université Leipzig.http://www.archiv-grundeinkommen.de/vobruba/wzb/
- de manière encore plus vaste
et très informative :
Roland Blaschke,
Arbeitslosenverband Allemagne à Dresde
http://www.archiv-grundeinkommen.de/blaschke/blaschke-200408.pdf
- dans une contribution volontaire au "1er tribunal de pauvreté Bâlois- et la
demande d'un revenu de base et comment on y parvient » :
Dr. « M » (Manfred
Reist) http://www.viavia.ch/spip/article.php3?id_article=864 |
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Wolf
Lotter
Revue
économique "Brand eins"
et auteur du livre
« Verschwendung (Gaspillage) » (Hanser,
2006) |
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Wolf Lotter exige la
: „ fin de l'académisation du
débat. - Afin que nous nous comprenions
correctement : Cela ne signifie pas, un débat sans
universitaires et experts. Cela signifie : ….
"
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FILM
Windows Media Player (.asf 850
TA) Mac QuickTime (.mpg 1,8
TA) |
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Critique
vis-à-vis du revenu de
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Critique
socialiste
Le travail est fondateur de sens, rester à la maison pas. La demande de
postes de travail est aussi l'exigence après une
intégration sociale. Le revenu de base fait
parfaitement la séparation entre les membres de la société mis au
rebut et ceux ayant réussis . Une solution bon
marché pour les riches d'enfermer, toute l'exigence sociale
derrière la clôture d'un revenu de base. Ainsi, beaucoup peut être gagné et rationalisé sans
souci.
Participation à la vie
professionnelle ? Amour-propre, identité, statut
social, utilité sociale ? Que vous voulez donc,
vous êtes quand même servis. Chacun n'a qu'a s'en prendre à lui même, s'il n'arrive pas au delà du revenu de
base.
Un revenu de base sera toutefois
toujours marginal et jamais suffisant pour
la vie.
Les hommes ont aussi un droit à ce que des tâches et le travail leur soit donnés.
Seulement une petite minorité d'artistes, de fanas
et de philosophes est à même de vivre
librement, créatif et autodéterminés avec un revenu de base .
Ce n'est que ce groupe de personnes qui exigent
un revenu de base. La plupart des hommes ne
veulent pas se donner eux-mêmes une tâche et
n'aspirent pas à la créativité, seulement
parce qu'ils n'ont plus d'emploi, parce qu'ils ont
un revenu de base.
Le revenu de base est la
solution la plus agréable et la moins chère pour
plus d'exploitation, richesse intacte et pouvoir
pour quelques-uns et est un refus définitif à la
participation de tous à la prospérité.
Critique
féministe
Un revenu de
base pousse au retour des femmes à la maison, au fourneau et dans
les travaux impayés. La reconnaissance et donc
l'égalité des droits n'ont lieu que dans la vie
professionnelle.
Critique de la "demi-mesure"
Le
revenu de base n'est qu'une vérité
partielle et problématique lui-même, comme pas intermédiaire,
parce qu'il ne va pas de pair entre autres avec
une modification du droit de propriété du sol et
du capital. Il laisse les vieux tuyaux et remplit
seulement de nouveau vin. Sur cette base, aucun
« nouveau travail » ne peut non plus
naître. Il divise la société en producteurs
et une masse de consommateurs impuissants. C'est
une mise en pension étatique de l'homme comme consommateur et une subvention aux profits privés.
Si tous deviennent des attributaires de base, au titre
des « droits universels de l'homme », comme on
le fait avec des enfants, c'est comme une
amputation de grandes parties de la société. La prestation de base « ne libère pas
seulement » du travail, mais exclut de la
vie économique. Tout ce qui est capital, reste
encore plus fortement concentré dans peu de mains. L'État perdrait encore plus d'influence
sur le règlement du travail, serait encore plus
l'instrument de ceux qui ont, avec le capital, le
pouvoir. Il serait ainsi aussi un garant très
faible pour un revenu de base. Le revenu de
base peut être mésusé, en ne suffisant ni à la vie
ni à la mort et en augmentant seulement la maniabilité des hommes dans l'intérêt
des puissants. On peut rejeter rapidement les
personnes de la vie professionnelle et seulement d'après ses propres règles - sans
codécision. Celui qui ne trace pas la piste, peut
tout de suite partir. Et personne ne doit se faire du
souci, personne n'a a savoir s'il y a quelque chose à en dire car il y a le revenu de base. Un
salaire plus juste, de meilleurs contrats de
travail ? Vas donc à la maison, tu as un revenu de base. Les salaires et les prix des
marchandises seraient encore plus manipulables,
beaucoup de travail sous payé naîtrait, et
ce, pas pour le bien-être des hommes joyeusement
autodéterminés. De coûteuses formations et de coûteuses recherche seraient encore plus inaccessibles
qu'aujourd'hui à la plupart. Cela signifie aussi que
poursuivre des aspirations et intérêts propres reste pour la
plupart au niveau d'un hobby. Et beaucoup
ce qui se forme là avec les allocataires (ndt: du revenu de base) en
activités libres, aussi en possibilités de
formation libres, ne trouve pas de raccordement
à la vie économique et à une reconnaissance sociale.
Argent de poche pour une société de loisirs d'une
classe B (ndt: probablement équivalent à 2ème classe) tranquilisée. Le revenu de base ne peut
conduire par la demi mesure de son exigence qu'à une dictature plus que sans gêne des
propriétaires. Le revenu
de base n'a rien à voir avec l'économie contemporaine.
Critique de l'aumône
Le
revenu de base n'est quand même qu'une aumône
déversée arbitrairement avec un grand arrosoir. De
cette manière les hommes ne deviennent pas immédiatement créatifs et initiateurs. L'attente du transfert mensuel de
l'État peut être vécu dans la léthargie.
Alcool, criminalité en sont les conséquences. Ce
que je veux vraiment faire, je ne le sais pas
du fait que je ne dois plus rien faire pour vivre.
La question de ce que je veux vraiment par moi même, a été désapprise petit par
la plupart des hommes.
Critique du concept
La revenue de base embrouille le concept du travail. D'une
part, le travail est poussé dans la vie privée, tout devient une
activité privée, où je peux faire, ce que je veux, sans pertinence. D'autre part, le vieux
style continue
encore ainsi plus incontestablement , dans lequel travailler est obtenir un revenu aussi élevé que possible, et des
entreprises sont là pour viser des profits aussi élevés que
possible . La question de ce qu'est une entreprise, son utilité publique, le travail comme performance
créative, la question de l'économie et sa
nature reste non posée. Le revenu de base
met par dessus tout la compréhension de la consommation , dans laquelles le concept de production, la compréhension de créativité n'entrent pas en ligne de compte.
Les entreprises et leurs unions sont les
lieux pour cela, pas une une activité de loisirs. Le
chômage est un faux concept. Mais une solution
n'existe pas dans une prise en charge de base par l'état,
mais dans une autre orientation de pensée quant à
ce que sont les tâches des entreprises et
le travail.
Dans les concepts doit être la clarté. De là vient l'énergie à la conversion des
relations dans une pertinance sociale, et pas dans un tassement au niveau du travail domestique et en tirant la pensée de consommation au secteur de la
production.
Chaque homme a besoin d'un revenu, oui.
Mais le revenu de base inconditionnel n'est que
capitulation, qui ammare
encore plus solidement le manque d'esprit existant.
Critique de
nivellement
Le
revenu de base nous fait tous semblables. Tous obtiennent la même
chose. Il nivelle les différences. Il ne tient pas
compte de besoin effectif, de capacités, relations
et nécessités différentes de chacun. |
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